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Nous entendons tous parler du pouvoir antioxydant des vitamines C et E et des caroténoïdes. Pourtant, d’autres corps sont d’un intérêt tout aussi majeur : il s’agit des flavonoïdes. Ce sont des agents surement plus actifs pour la santé que toutes les vitamines connues actuellement et pourtant ils font rarement parler d’eux.
Pendant des années, les chercheurs ne comprenaient pas pourquoi les Français qui faisaient une bonne consommation de beurre, pouvaient avoir un taux de cholestérol élevé tout en fumant autant que les Américains mais, en affichant cependant 3 fois moins de maladies cardiaques que ces derniers.
Le problème fut compris lorsqu’on se pencha sur leurs assiettes respectives. Les Français consomment plus de fruits et légumes que les américains, mais surtout en plus ils prennent un peu de vin rouge. Ces facteurs concourent à une prise régulière de flavonoïdes dans le bol alimentaire.
Dans une étude, des chercheurs ont examiné les habitudes alimentaires de 805 hommes âgés de 65 à 84 ans. Ils ont ainsi découvert que pour ceux qui consommaient des aliments riches en flavonoïdes, le risque de maladies cardiovasculaires était à peu près divisé par deux par rapport à ceux qui n’en absorbaient pas.
C’est un flavonoïde aux qualités exceptionnelles qui retient l’attention de la communauté scientifique : la quercétine. Plus efficace que la vitamine E dans les maladies cardiaques, la quercétine devient « une vedette » dans le domaine des compléments alimentaires efficients.
Divers travaux suggèrent que ce flavonoïde pourrait avoir le même effet dans le sang qu’un revêtement antiadhésif, empêchant les plaquettes sanguines d’adhérer aux parois des artères et de provoquer une obstruction.
D’ailleurs, il est fort possible que l’ensemble des flavonoïdes se révèle plus efficace que l’aspirine pour « fluidifier » le sang.
Ainsi, chez une personne stressée, le taux d’adrénaline augmente et l’aspirine perd de son efficacité, mais cela ne prévaut pas pour les flavonoïdes. En plus, les flavonoïdes ne donnent pas de maux d’estomac comme le fait l’aspirine.
Insolubles : ce sont alors des tanins. Ils se trouvent en abondance dans le thé, le vin rouge. Ils capturent le fer et ont une forte activité anti tumorale.
Solubles : ils sont parfaitement assimilés par le corps et ont des qualités anti oxydantes.
Outre la quercétine, on trouve la rutine et l’hespéridine dont les agrumes sont richement pourvus.
On rencontre encore des proanthocyanidines. C’est l’immense découverte du docteur Masquelier mais avant lui celle des Indiens d’Amérique du Nord.
En fait, lorsque Jacques Cartier fut coincé pendant de longs mois dans les glaces du Saint-Laurent en 1534, l’équipage fut ravagé par le scorbut. Ce sont les Améridiens qui les soignèrent avec des infusions d’aiguilles de pins.
Plus de 400 ans plus tard, Jacques Masquelier, de l’Université de Bordeaux, se rendit au Québec, plus précisément à l’Université Laval, pour découvrir ce qui, dans le pin, pouvait avoir sauvé les marins français. C’est ainsi qu’il identifia une classe de composés flavonoïdiques qu’il nomma pycnogénol.
Actuellement, on porte attention aux flavonoïdes qu’on trouve dans le thé, l’aubépine, le cacao et qui font merveille dans toute la circulation sanguine…. Mais il y a encore plus : les qualités incroyables en tant qu’anti oxydants des flavonoïdes du riz rouge, du haricot de soja, du bleuet, de la canneberge et de la myrtille…
Voici quelques plantes riches en flavonoïdes :
Le ginkgo biloba, le thé, le cacao, la vigne rouge, l’hamamélis, le marron d’inde, la prêle, le millepertuis.
Les bienfaits des flavonoïdes, qu’on nomme aussi vitamine P, viennent essentiellement de leurs qualités anti-inflammatoires, immunostimulantes, anti oxydantes. Ils renforcent considérablement tous les vaisseaux sanguins et améliorent ainsi la circulation.
Quand il s’agit de protéger la paroi vasculaire, de la fortifier et de préserver sa résistance, rien de tel que l’utilisation du pycnogénol issu de l’écorce de pin des Landes.
Des recherches sous la direction du professeur Masquelier sur des patients ayant des parois vasculaires très fragiles, ont porté sur les conséquences d’une supplémentation de l’alimentation en procyanidine( pycnogénol). Les résultats furent spectaculaires. Il s’est avéré que, en peu de temps, ce flavonoïde avait renforcé la paroi vasculaire de 2,3 fois. Cela signifie un avantage pur de 130% .
Avec le renforcement de la paroi vasculaire, on obtient également que le liquide séreux du sang ne « fuit » pas à travers la paroi vasculaire et évite le gonflement par accumulation.
Lorsqu’il y a manque de flavonoïdes, la paroi vasculaire finit par se dégrader jusqu’à la rupture mais aussi des varices finissent par faire leur apparition…
Seuls ceux qui n’en souffrent pas peuvent à peine imaginer combien les jambes peuvent être source de gêne et d’irritation.
Une recherche a été faite sur la question de savoir pourquoi ce sont surtout les femmes qui souffrent des problèmes aux jambes. On suppose que cela a un rapport avec les hormones féminines. Ces dernières peuvent d’une part venir de l’organisme mais aussi de l’usage de la pilule contraceptive.
Cependant, les influences hormonales passent de la mère à la fille et se manifestent à la faveur d’évènements typiquement féminins tels que la grossesse et la ménopause.
La prise de flavonoïdes comme le pycnogénol, mais aussi la rutine semble être vraiment la solution. Les résultats sont bien souvent intéressants.
Les flavonoïdes ont été mis en évidence par Albert Szent Gyorgyi, un chercheur hongrois qui reçut le prix Nobel de Médecine en 1937 après avoir isolé la vitamine C .
Avec plus de 4000 composés, ces « vitamines » représentent une gigantesque famille d’antioxydants.
Ils sont particulièrement abondants dans les aliments de santé.
Ils ont des qualités qui font qu’en leur présence, la vie se régule. Les recherches, faites au cours de ces dernières années, ont mis en évidence que de nombreux végétaux faisant partie du quotidien alimentaire de certaines cultures traditionnelles constituaient des sources exceptionnelles de molécules possédant la capacité d’interférer sur le bon état du corps.
La fonction des flavonoïdes dans les plantes est de leur apporter une couleur attractive. Ce sont eux qui sont responsables de la couleur variée des fleurs et des fruits.
Dans les feuilles, ces composants sont de plus en plus reconnus comme stimulant la capacité physiologique de survie de la plante en la protégeant contre des pathologies fongiques et des ultra-violets.
Ils sont élaborés au moment de la photosynthèse et leur premier rôle est la protection des feuilles des rayonnements nocifs provenant du soleil.
Avant la chute des feuilles, ces corps sont acheminés par la sève descendante et stockés dans le tronc et les racines. (exemple le pycnogénol) C’est pour cette raison que de nombreux bois sont jaunes. Cette couleur étant encore plus marquée dans les racines qui sont elles aussi particulièrement riches en flavonoïdes.
Au printemps, avant que les bourgeons n’éclatent, la sève nouvellement chargée de flavonoïdes enveloppe les bourgeons et les protège des rayons nocifs d’une part et des bactéries et virus qui pourraient les attaquer d’autre part.
Dès leur naissance et pendant leur croissance, les jeunes pousses sont enrobées de sève et c’est à ce moment là que les abeilles vont faire leur récolte. Les jeunes feuilles à leur tour vont produire des flavonoïdes lors de la photosynthèse et le processus continuera.
Dans les années 1960, K Lund Aagaard redécouvrit non seulement les vertus curatives de la propolis mais aussi les agents qui font d’elle un produit « vivant » et thérapeutique.
Ces agents là, vous l’avez compris, ce sont les flavonoïdes.
Les abeilles en faisant leur récolte vont collecter cette glue résineuse qu’on nomme propolis et celle-ci va permettre de colmater les ruches. Elle servira comme un boucler de protection à l’encontre des « agressions » microbiennes des abeilles.
Monsieur Aagaard avait constaté qu’une propolis de base, celle que l’on trouve dans une ruche normale contenait une dizaine de flavonoïdes. Si pour les abeilles cela s’avère suffisant, il n’en est pas de même pour l’homme.
Pour assurer la santé d’un individu, il faut pas moins de 25 flavonoïdes différents !
Le secret de Lund Aagaard fut d’élaborer une super propolis contenant environ 50 flavonoïdes différents …. Comment y arriver ?
Avoir un réseau d’apiculteurs dans le monde entier afin d’élaborer un judicieux mélange « vivant » de propolis ayant des qualités véritablement actives.
Les qualités des flavonoïdes sont principalement :
Antibactériennes
Antiseptiques
Antivirales
Anti oxydantes
Immunostimulantes
Anti allergiques
Anticancéreuses
Antihistaminiques
Anti thrombotiques
Tonique vasculaires
Se trouvent en vente en magasin de diététique et bio les produits riches en flavonoïdes suivants :
-- La quercétine
– La rutine
– Le pycnogénol
– L’extrait de pépins de raisins
– La propolis pulver C Lund Aagaard